Le projet de nouvelles restrictions d’accès au service civil a échoué. Il faut maintenant réfléchir aux moyens de développer le service civil, par exemple en l’ouvrant sur une base volontaire aux femmes et aux étrangers et en lui donnant la même durée que le service militaire.
Durant la crise du coronavirus, pourquoi avoir mobilisé l’armée et ne pas avoir fait appel au service civil? Soutenir les institutions qui en ont besoin est justement la tâche principale du service civil. Ce dernier est aujourd’hui plus utile que jamais.
Quelle voie choisir ? Chacun-e espère qu’il sortira malgré tout quelque chose de bon de la crise actuelle. En même temps, nous craignons tou-te-s que le mauvais ne subsiste. Quelle est la responsabilité des décideur-se-s mais aussi la nôtre pour éviter d’être pris définitivement au piège de cette épidémie ?
Le 9 février 2020, nous voterons sur la modification du Code pénal pour interdire la discrimination basée sur l’orientation sexuelle.
L’année 2019 a été marquée par le mouvement des jeunes pour le climat. Parmi les idées d’action qui se multiplient, on entend parler depuis quelques temps de la création d’un service environnemental. Il a été proposé par Némo Graells, 18 ans, élève au gymnase français de Bienne, pour apporter une solution innovante au défi climatique.
Accord-cadre avec l’UE, accords de libre-échange, ONU. Comment la Suisse doit-elle se positionner par rapport à ses voisins, à ses partenaires économiques et au reste du monde ?
Le Conseil fédéral veut restreindre l’accès au service civil. Au contraire, nous devrions développer cette institution et proposer plus de flexibilité dans l’organisation de l’obligation de servir.
Les civilistes organisent leurs affectations de manière indépendante. Ceci est positif mais maintenant que le service civil est attaqué, il est nécessaire de les mettre en réseau en vue de la campagne de votation.
Le 10 février, nous votons sur Stop mitage afin d’éviter le bétonnage de la Suisse. Mais qu’est-ce que cela signifie concrètement ? Sophie Desbiolles, co-présidente des jeunes vert-e-s Genève, et Thomas Juch, président des jeunes libéraux-radicaux genevois, nous expliquent leurs visions de l’initiative.
Le 25 novembre 2018, les Suisses voteront sur la surveillance des assurés. Qu’est-ce que cela implique pout tout un chacun ? Qui pourra surveiller ou à l’inverse être observé ? Et comment ? En cas de fraude, nos assurances doivent-elles faire appel à la police ou être la police ?